BIO
Je m'appelle DAN
Elevé dans une famille d'artistes , Dan Tibério se produit dès l'âge de 9 ans avec ses cousins dans les tournées estivales au Portugal en tant que musicien mais aussi chanteur où il attire la curiosité et l'admiration du public de par sa précocité artistique .
Après des études musicales dans une école privée qu'il mène en parallèle avec une brillante scolarité intégrant le Lycée Montaigne à Paris en section bilingue (portugais littérature /histoire, civilisation brésilienne , grec...)il se passionne très tôt pour les grands philosophes et les grands humanistes ...
C'est à travers la musique , et l'écriture qu'il exprime une sensibilité , un instinct qui le caractérise , baigné dans différentes influences culturelles :du fado , à la pop anglaise américaine, la musique d'Amérique du Sud qu'il ressent comme une seconde nature , la musique française (d'Aznavour à Gainsbourg ....)le classique à travers son professeur de musique , il condense dans son art ces différentes couleurs qu'il retranscrit avec une signature artistique et une singularité qui le caractérise .
Il est repéré à l'âge de 17ans par un grand compositeur Maurice Larcange qui perçoit chez lui un don de compositeur .Avant gardiste dans son style , il écrit quelques œuvres comme les Yeux d'Elsa édité au verso d'une œuvre de Piazzola et d'autres œuvres jouées dans le monde entier et dans des concours internationaux .
Il intègre plusieurs formations en tant que musicien en France , à l 'étranger mais c'est en tant que chanteur qu'il fait l'unanimité à travers ces chants de "saudade" ou des grands standards internationaux , français qu'il revisite avec une singularité et une signature vocale unique .
Il vient d'enregistrer Morena , Dimé -dimé en espagnol qu'il a composé et Venga -la dont il est auteur où il réunit l'espagnol , des références à la culture portugaise (luso ...) mais aussi brésilienne (requebrar , cachaça ...et à travers l'accent employé dans certains mots , et un titre :Ohayo en français /anglais qui est un hymne à la paix où il utilise un thème de l'ôde à la joie de Beethoven comme symbole de fraternité ...
